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Punaises, migraines et Wagner-Liszt
(Ne plus y penser. Ne plus songer la br »lure, l’étau, l’implosion, la portée de tous. Ne plus y songer, l’écarter d’un bras vengeur sans plus s’y appesantir que sur la plume l’édredon jadis cultiva ses terres. L’ongle est long et noir, et rien n’y viendra pimenter l’immensité diaphane de l’extrême ao »t sans redevance repoussée plus tard. Par aveu et par avion. Rien ne t’y attarde plus, avance de ce beau pas de prince alouette qui t’a vu conquérant aux quatre coins du pays, de ce pay tout de graves et de murs vêtu. Et la vague n’est plus irrésolue qui te submerge au terme de tes douleurs centenaires et cent fois revenues de cet éternel retour qu’on voudrait ignorer. Tu n’es plus, tu n’es plus rien sinon cette pâte informe qui s’absorbe jusqu’au fond du fond de la quête, sans humaine apparition. Voile noire qui invite l’entière horizon, pousse l’echo venir mourir sur les falaises d’albâtre de ta chevelure déroutante. Tu t’écroules, face la première dans l’herbe humide, les bras en crois qui voudraient, qui br »lent, de l’embrasser jusqu’ ce que mort d’Isolde s’ensuive.)
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